Un acte infantile vient d’être commis.
Quelques millions de spermatozoïdes viennent d’être libérés des capsules molles
d’un corps désireux et d’un esprit venant de se remémorer nostalgiquement quelques
images romantiques aux côtés d’une jeune fille.
Juste après l’acte :
Euh, comme vous savez, vous ressentez une jouissance
extrême. La frustration menant à cet acte satanique a disparu pour un temps.
Votre peau transpire, vos testicules paraissent écarquiller les yeux, vos bras
sont ballants, et votre tension s’apaise. Je me balade dans un autre monde et en même
temps je reste dans la réalité qui me rend maussade. Mon énergie et mon
excitation du moment retombent peu à peu.
Quelques temps après :
J’ai une sensation de lourdeur au niveau du ventre. Le sang
parait mal s’écouler et monter en haut du buste. J’ai comme le souffle coupé.
Je suis malgré cela tout plein d’entrain. Le plaisir ayant été vécu de manière
totale, ayant éjecté avec fluidité tout l’éjaculat érotique. Et puis bien sûr, cette femme a été
la maitresse fortuite de mes pulsions. Je me dis avec tout ce qui s’est passé : « ça sera encore pareil ». Je ressens ainsi comme au cours de nombreuses
reprises un semblant de culpabilité mêlé de dégout : mon acte, moi et… La
fille en question, celle qui m’a fait jouir virtuellement, n’est plus
désirable. Je m’en veux de l’attrister, de ne plus être attiré par elle.
Après une nuit de
sommeil :
Je me réveille fatigué mais j’ai retrouvé quelque force. J’ai
bien sûr l’érection matinale due avec une très forte probabilité à un rêve
idéalisé d’une jeune femme du sommeil profond. Mon petit déjeuner me fait du bien. J’ai bizarrement envie de sexe.
J’ai l’impression d’être un lion qui doit s’accoupler une nouvelle fois pour
que la fécondation soit une réussite certaine. Je suis devant l’ordinateur, et en ayant maté sans
le faire exprès (sans rire) des filles dénudées sur un site, j’ai quelques érections
rapides. Mon pénis semble déjà un peu sur le qui-vive. Je me dis à
moi-même : « Que je suis maso.
Pourquoi m’avoir fait tant de mal, donné tant de mal pour un plaisir si
éphémère » ?
Vers 14h30 :
Je ne suis plus du tout sexy. Enfin, c’est mon sentiment qui
m’habite à cette heure. En d'autres termes, j'ai l'impression d'être un mâle stérile. L’érection est possible et facile mais je crois que
l’accouplement serait compliqué en temps de crise. Mon énergie est assez basse.
Je décide donc de faire une sieste cet après-midi qui, j'espère, me reboostera.
Vers 18H30 :
Le réveil a été difficile. Très. Après la
sieste, je ne suis pas tout à fait en pleine forme. L’énergie ventrale ne s’est
pas modulée jusqu’à l’état d’équilibre. Je vais aux toilettes. Constat : mon excrément est
bien formé. Solide, il est accompagné de liquide anal fluidifiant. Je me sens
pas mal du tout (plaisir de déféquer).
Le lendemain :
Je me sens un peu déprimé. J'ai des hauts et des bas. Être là a écrire un texte n'est pas vraiment aisée. Mon esprit se veut du bien. Je cherche à bouger. Bouger mon corps pour faire circuler l'énergie. Et ça marche plutôt bien. Je continue peu après les coups de 18 heures.
Je crois que ça arrive. Le moi revient. Et la folie redescend. Je commence à redevenir joyeux.
Les jours suivants :
L’énergie reprend le dessus. Elle
est grande au jour +4. Une semaine après, mon désir reprend le dessus. J’ai un
besoin irrésistible de me faire une « bitch de luxe ». En effet, c’est très étrange. Le corps, le mien a besoin d'érotisme. Le signe précurseur de celui-ci c’est que mon envie de regarder des
choses à moitié catholiques s'accroit. L’esprit devient comme vicieux pour permettre au corps
physique de se soulager. Il le fait exprès. Les images érotiques et fantasmes
du soir mis dans l’inconscient naturellement sont comme en trop plein. Ce
mélange bouillonne alors et est comme prêt à être dégusté. Il a déclenché à un certain stade la mise en
marche des envies jusqu’à l’acte infantile ou soit vers un acte sexuel normal,
c’est-à-dire à deux.
@ savoir : tout ceci est le fruit de ma propre expérience, un moment vécu intensément dans mon intimité. Elle m'excusera...
@ savoir : tout ceci est le fruit de ma propre expérience, un moment vécu intensément dans mon intimité. Elle m'excusera...
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